EHPAD Résidence Vauban

EHPAD À partir de 1986,00€ 2,8 ★ (4 avis) 11 Rue Georges Pompidou, 90000 Belfort Gérez-vous cet établissement ?
03 84 55 91 00

Informations spécifiques

Unités et services de soins

  • Hébergement permanent
  • Hébergement temporaire
  • Infirmier de nuit
  • Médecin coordonnateur
  • Convention(s) à la coordination des parcours de santé

Places et chambres

  • 89 places
  • 85 chambres simples
  • 1 chambre double
  • 89 places habilitées à l’ASH

Aides financières

  • APA (Allocation Personnalisée d'Autonomie)
  • ASH (Aide Sociale à l'Hébergement)
  • ALS (Allocation de Logement Social)

L’avis du client mystère Papyhappy

5,0 ★ décembre 2018

Très bien située en plein cœur de la vielle ville, la résidence ouverte en 1976 peut accueillir 86 résidents dans un bâtiment très bien entretenu qui fait penser à un bateau de croisière par sa forme et dans un environnement calme avec un jardin public situé juste en face. Ancien foyer logement, la résidence dispose de chambres assez grandes (26 m2) d’un balcon et une salle de bains avec un bac à douche à hauteur raisonnable et parfois d’une partie kitchenette. Les espaces communs sont nombreux avec une décoration contemporaine et chaleureuse. La restauration est préparée sur place et servie à l’assiette dans un restaurant agréable et lumineux. A noter que le petit déjeuner est aussi préparé en salle pour la plupart des résidents. Le programme d’animation est riche et varié, tous les jours. Ambiance très conviviale et très bon accueil à l’écoute des attentes et besoins du visiteur.

Hébergement
- 5,0
Restauration
- 5,0
Ambiance
- 5,0
Services
- 5,0

Les avis utilisateurs Papyhappy

2,0 ★ Les avis sont modérés selon nos règles de modération
Hébergement
- 3,7
Restauration
- 1,0
Ambiance
- 3,3
Services
- 2,0
3,0 ★ 30/07/2024
Madame, monsieur, Nous, la famille, sa fille et une petite-fille, sans aucune agressivité ni a priori, tenions à signaler les 'incidents relatifs aux soins portés à madame M.ml  ce jour lundi 22 juillet 2024. Nous sommes très conscients qu'une personne en fin de vie comme elle, en période de démence et de délire, devenue totalement dépendante... demande beaucoup d'attention, de soins très particuliers et une patience hors du commun. • Lundi 22 juillet à 10h30. À mon arrivée, j'ai trouvé ma grand-mère toujours dans son lit et complètement couchée. Elle semblait être en position de réveil et sentait fort. À ce moment-là, elle était bien consciente, lucide, nous avons un peu parlé mais l'odeur était telle que j'ai décidé de faire appel à un soignant. Je me suis souvenue qu’à cette heure-ci (10h15-10h30), les professionnels sont en pause du matin. Ce qui m'a été confirmé par un agent dans le couloir. Ma grand-mère essayait de relever sa protection et commençait à frotter son ventre qui lui faisait mal. À 10h45, trouvant le temps long et sachant que vers 11h30, elle va manger dans la salle de restauration, j'ai voulu ranger quelques affaires et j'ai découvert : - qu'elle n'avait pas pris son petit-déjeuner ; - que les médicaments du matin (qu'elle doit prendre à jeun) étaient toujours sur le plateau ; - Quid du patch de traitement pour le cœur. Si le reste n’a pas été délivré celui-ci a-t-il été changé ?…Je pense que c'est gravissime. Même si elle est en fin de vie, il y a certains traitements qui ne doivent pas être laisser de côté. Je suis allé au bureau des infirmières, M s’est immédiatement chargé de trouver la professionnelle responsable de ma grand-mère. Celle-ci a reconnue l'avoir totalement oubliée ce lundi matin. • Mardi 23 juillet à 15h. J'arrive un peu plus tôt. On me dit qu'on vient de la ramener dans sa chambre puisqu'elle n'a pas envie d'aller chez le coiffeur. Il fait très chaud et je la trouve avec un pull mais ses bas de contention ne lui ont pas été mis. Comme elle est très fatiguée, elle ne va pas chez le coiffeur et on demande à la coucher. Merci à Lili. • Mercredi 24 juillet. J'arrive à 14h. Il fait une chaleur excessive dans la chambre et bien que ma grand-mère soit couchée dans son lit, elle porte toujours ses bas de contention. Comme elle est un peu mieux nous parlons mais elle a faim, nous attendons donc goûter avec impatience. Malheureusement pas de goûter servi aujourd'hui. Je vais au bureau des infirmières. La professionnelle présente me signale qu'elle aurait dû être servie depuis longtemps. L'agent responsable du goûter est appelée. Celle-ci me signale qu'il n'y avait plus de clafoutis... je l'informe donc que depuis sa grande chute du mois de mai, ma grand-mère ne mangeant pas forcément de gâteau, nous demandons à la place un yaourt. Ma grand-mère étant au fond du couloir, quand il y a plus le goûter du jour, on lui donne…rien. L'agent responsable du goûter revient dans la chambre 10 minutes après, avec un morceau de clafoutis et me dit « bah en fait je suis allé en chercher ». Faut-il entendre par là qu'il n'y en avait plus sur le chariot et qu'elle n'avait pas la force de redescendre en cuisine ou ailleurs… je n’ose y croire. J'ai rendu le clafoutis plus tard à un agent puisque ma grand-mère ne mange pas de gâteau depuis sa chute mais des yaourts. • Jeudi 25 juillet. A mon arrivée je constate que ma grand-mère entend mal. Ses prothèses auditives ne doivent pas être en place. Je demande donc à un professionnel de les lui mettre et il m’annonce qu’il en manque une. L’ensemble du personnel se met en recherche de celle-ci dans la maison avant que l’un d’entre eux ne se rende compte que la personne l’ayant déshabillée la veille au soir ne lui en avait enlevé qu’une seule. • Dimanche 28 juillet. Ma maman arrive vers 14h. Dans la chambre le store n'a pas été descendu et le soleil tape sur la baie vitrée, le ventilateur ne fonctionne pas et ma grand-mère est dans son lit, couverte alors qu’il fait une chaleur d'enfer. Ce n'est pas la peine de mettre en place un agent canicule si sa mission doit se dérouler sans s’adapter à la réalité quand la famille est présente, fermer les fenêtres, mettre en route un ventilateur, donner à boire, communiquer avec la personne, etc ; lorsque nous sommes présents nous savons faire… Et malheureusement quand elle n'est pas là, mettre nos aînés dans une cocotte-minute. Voici un aperçu d’une semaine « normale » à la maison de retraite. Lorsqu’elle était plus lucide, ma grand-mère (103 ans aujourd’hui) nous disait parfois qu'elle avait vu personne depuis le matin, qu'elle n'avait pas déjeuné, pas goûté… mais nous ne la croyions pas. Permettez-moi aujourd’hui d’avoir de sérieux doutes quant au sérieux de certains professionnels. De plus depuis sa grosse chute du 15 mai dernier, nous avions mis en place une pancarte rappelant à tous que ma grand-mère avait des côtes cassées qu’elle ne pouvait se lever seule et qu’il fallait la manipuler avec précautions car nous avions déjà remarqué que les transmissions n’étaient que trop rarement faites entre professionnels et remplaçants… Que même au sein des professionnels peu de personnes savaient qu'elle était non pas non voyante mais très mal voyante puisqu'elle avait une DMLA très avancée Tout ceci pour information à la direction Je transmets également au service concernés responsable des personnes âgées à Belfort. Aucun moment nous ne voulons faire des histoires mais il serait temps de mettre en place des personnes responsables stables Diplômées serait un plus... plutôt que des jeunes à peine ou pas diplômés.. Les infirmières font ce qu'elles peuvent avec du personnel qui change tout le temps et n'ont plus la possibilité de faire leur travail consciencieusement. Pour preuve les démissions récentes... Nous tenons également à remercier les professionnels en place qui donnent ce qu'ils peuvent et qui subissent également ce manque de professionnel présent Envoyé depuis mon appareil Galaxy
Hébergement
- 5,0
Restauration
- 1,0
Ambiance
- 3,0
Services
- 2,0
1,0 ★ 16/05/2024
Une maison retraite que tout le monde enviais. Une chambre spacieuse une magnifique terrasse avec une marche de 30 cm sans appui que les résidents peuvent emprunter de peur de chuter surtout sur le retour Des transmissions rarement faite on ne fait pas assez attention aux personnes malvoyantes mais du personnel à l'écoute mise à part les remplaçant du weekend Un weekend de triste ou très peu de professionnels prennent soin des résidents ce qui les oblige souvent à faire leur lit même s'ils sont en difficulté pour le respect deux même. Des repas restreints de pire en pire. Les personnes âgées veulent une soupe des pommes de terre du simple c'est pas la peine de faire des choses rechercher qui sont d'ailleurs ratés reconnus par tout le monde insipide et qui ne respecte pas les facultés de chacun à se débrouiller par eux-mêmes. Menu souvent particulier puisque le soir à des personnes âgées qui ont souvent les intestins fragiles on sert des épinards avec des œufs ou des plats non adaptés au soir et à l'âge des personnes. Un service d'animation très au moins. Quel dommage à cet âge-là on ne demande qu'une chose respirer et manger de bonnes choses simples et qui font plaisir
Hébergement
- 4,0
Restauration
- 1,0
Ambiance
- 4,0
Services
- 3,0
2,0 ★ 03/11/2022
Les balcons offrent 1 vue agréable ms ils sont inaccessibles : 1 « marche » empêche ces pers âgées, qui peuvent à peine marcher, d’en profiter sans risquer de tomber. Vu les prix pratiqués, la qualité et quantité des repas sont à revoir (trop salés, rations minuscules, soupes sans goût et claires..) Merci de respecter les besoins de ces personnes : embaucher du personnel en quantité nécessaire, augmenter les quantités des repas, demander aux résidents et au personnel leur proposition et avis. Quelle dommage ….
Hébergement
- 2,0
Restauration
- 1,0
Ambiance
- 3,0
Services
- 1,0